Alors qu’on se croise, nos deux regards s’enlacent.
Mon cœur est un vase bleu qui cherche sa place ;
Il attend qu’un bouquet l’occupe, mais… est-ce elle ?
Tu vibres aux mêmes notes ; sans acuité…
Il me faut espérer une vie moins cruelle,
Étourdie ! Bohème ! Pour vaincre l’amitié…
Tes yeux, radieux, enfin, me voient : libre et farouche,
Enivrés d’un parfum dont on oublie la souche ;
Nil de mes pensées ! Itinéraire de l’âme !
Dernier convoi raté vers un horizon calme !
Reviens encore ! Ô Doux enfant de caresses.
Enflamme un tendre courroux, sublime déesse !
Séduis ma peau ! en effleurant ses sensations,
Secoue moi l’accent qui corrompt mes fondations
Et sauve moi de ces moments sans violons.
Aime moi à en crever tes yeux si brillants.
Marche à mes côtés dans les lueurs matinales,
Oublie ma cécité, Que mes pieds me font mal ;
Use de moi pour cheminer ce sol brûlant.
Rentre à mes côtés au crépuscule final.
Mon cœur est un vase bleu qui cherche sa place ;
Il attend qu’un bouquet l’occupe, mais… est-ce elle ?
Tu vibres aux mêmes notes ; sans acuité…
Il me faut espérer une vie moins cruelle,
Étourdie ! Bohème ! Pour vaincre l’amitié…
Tes yeux, radieux, enfin, me voient : libre et farouche,
Enivrés d’un parfum dont on oublie la souche ;
Nil de mes pensées ! Itinéraire de l’âme !
Dernier convoi raté vers un horizon calme !
Reviens encore ! Ô Doux enfant de caresses.
Enflamme un tendre courroux, sublime déesse !
Séduis ma peau ! en effleurant ses sensations,
Secoue moi l’accent qui corrompt mes fondations
Et sauve moi de ces moments sans violons.
Aime moi à en crever tes yeux si brillants.
Marche à mes côtés dans les lueurs matinales,
Oublie ma cécité, Que mes pieds me font mal ;
Use de moi pour cheminer ce sol brûlant.
Rentre à mes côtés au crépuscule final.